Le 5e Prix Jacques-Goddet en photos
Un nouveau partenaire et nouveau juré entre dans l’histoire du Prix Jacques-Goddet. Gérard Castrie, à gauche, directeur marketing et communication du groupe Carrefour hypermarchés France, est accueilli par Christophe Penot, l’organisateur, et par Laurent Lachaux, directeur commercial et marketing d’Amaury Sport Organisation.
© Cristel Éditeur d’Art / Jean-Luc Lamaère
Des anciens pour entourer les nouveaux dans la bonne humeur. Henri Montulet, rédacteur en chef de La France Cycliste, Philippe Sudres, directeur du service de presse d’Amaury Sport Organisation, et Jean-Marie Leblanc, ancien directeur du Tour de France, font fête à Philippe Bouvet, ancien lauréat et juré es qualités de ce 5e Prix Jacques-Goddet, à Laurent Lachaux et à Gérard Castrie.
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Bienvenue, Monseigneur, au fronton du 5e Prix Jacques-Goddet ! Christophe Penot et Christian Prudhomme, le directeur du Tour de France, sont allés accueillir leur invité d’honneur, le Prince Albert II de Monaco.
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Christophe Penot présente au Prince Albert II de Monaco ceux qui seront ses compagnons au sein de « la petite académie du Goddet ». D’abord Jean-Paul Brouchon, la célèbre voix de France Info, Éric Fottorino, le directeur du Monde et président du jury de cette cinquième édition, Philippe Bouvet, l’une des grandes plumes de L’Équipe.
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Son Altesse Sérénissime en compagnie de Rosine Goddet, amie fidèle de la famille princière. Au fond, sous le regard de Laurent Lachaux, Christian Prudhomme et Éric Fottorino ont déjà commencé à renouer les liens entre le Tour de France et le grand quotidien du soir.
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Beaucoup de bonheur sur les visages des jurés de ce 5e Prix Jacques-Goddet. Tous devinent qu’ils sont partis pour une édition mémorable.
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Un lecteur attentif. Christian Prudhomme découvre l’œuvre spécialement réalisée par Mark Brusse pour le 5e Prix Jacques-Goddet ainsi que le texte consacré à l’artiste néerlandais.
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De son trait inimitable, Mark Brusse a dessiné un Jacques Goddet plus vivant que nature. Une réalisation signée Cristel Éditeur d’Art, que Christophe Penot présente en compagnie du Prince Albert II.
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Deux mêmes passions les réunissent. À cet instant précis, qui peut dire si Éric Fottorino et Jean-Marie Leblanc évoquent l’histoire du cyclisme ou la belle langue française ?
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Devant un bouquet de fleurs blanches et rouges, couleurs de la Principauté, le Prince Albert II de Monaco témoigne de sa passion du sport toujours encouragée par Jacques Goddet. Une sorte d’aveu filial dont chaque juré est le confident attentif.
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Gérard Castrie prend ses marques. Un juré partenaire conquis d’emblée, qui nous fera l’amitié de devenir le meilleur héraut du Prix Jacques-Goddet.
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Doutes et relectures du premier au cinquième tour de scrutin ! Un instantané qui démontre que ni Éric Fottorino ni Rosine Goddet ni le Prince Albert II, Gérard Castrie, Jean-Paul Brouchon, Henri Montulet, n’ont rien laissé au hasard.
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Dîner de l’Association internationale des journalistes du cyclisme sur le port de Monaco, le samedi 4 juillet 2009, dans le cadre du Grand Départ du Tour de France. Ni plus ni moins qu’un écrin princier pour la remise du 5e Prix Jacques-Goddet.
© Cristel Éditeur d’Art / ASO / Bruno Bade
Au nom de Carrefour, son partenaire, et de ses amis du Tour de France, Christophe Penot, l’organisateur, ouvre la soirée de remise. Il est entouré par Bernard Chevalier, le lauréat, Alain Souillard, le directeur exécutif du groupe Carrefour hypermarchés France, Christian Prudhomme, le directeur du Tour de France, et Gilles Le Roch, le président de l’Association internationale des journalistes du cyclisme.
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Il n’a pas besoin de micro pour lui exprimer toute son admiration. Christian Prudhomme le rappelle néanmoins : ce 5e Prix Jacques-Goddet est d’autant plus mérité que la victoire fut acquise au terme d’un très long débat.
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L’heureuse transmission. Brillant chroniqueur à L’Équipe, Bernard Chevalier reçoit, des mains de Christian Prudhomme et d’Alain Souillard, le portfolio qui le consacre.
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Applaudissements mérités. En la circonstance, une sortie en fanfare puisque le lauréat, après des années à courir le monde, fait maintenant valoir ses droits à la retraite.
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Tirage unique sur Japon nacré. Une authentique pièce d’art dont Bernard Chevalier, Alain Souillard et Christian Prudhomme sont les premiers admirateurs.
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« Les mots ! Les mots ! Toujours les mots ! » Dans la salle de presse du Tour de France, nul n’ignore que c’est autant un journaliste qu’un véritable écrivain qui inscrit son nom au palmarès du Prix Jacques-Goddet.
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« Au revoir et merci ! » C’est, à quelques mots près, la formule employée par un Bernard Chevalier particulièrement heureux d’associer son propre nom à celui, prestigieux, de l’homme qui fonda L’Équipe en 1946.
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