« Convier quelqu’un c’est se charger de son bonheur pendant tout le temps qu’il est sous votre toit », écrivait Jean Anthelme Brillat-Savarin, maître de la gastronomie française. Bienvenue à la table des jurés du 13e Prix Jacques-Goddet…
© Cristel Éditeur d’Art / Émilie Hautier
C’est Jean-Marie Leblanc qui le lui avait demandé, en 2004 : « Crée-nous quelque-chose pour les journalistes présents sur la course… » Treize années plus tard, la complicité entre l’ancien directeur du Tour de France et Christophe Penot, l’organisateur, reste la même — toujours dévouée au rayonnement du Prix Jacques-Goddet qui récompense, de Tour en Tour, le meilleur article écrit en langue française.
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Jean-Marie Leblanc a été rejoint par Éric Marchyllie, responsable sponsoring de Carrefour France, et Thierry Rey, resté dans l’histoire comme le premier judoka français sacré champion d’Europe, champion du monde et champion olympique en individuel, et présentement invité d’honneur de ce 13e Prix Jacques-Goddet.
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Christophe Penot, Arnaud Platel, directeur général de la Ligue nationale de cyclisme et invité ès qualités, Philippe Sudres, directeur du service de presse d’Amaury Sport Organisation, et Laurent Lachaux, directeur commercial et marketing d’Amaury Sport Organisation, ont accueilli Jean-Luc Évin, le président du jury de cette édition. L’un des grands noms du journalisme en région, qui a longtemps dirigé la rédaction de Ouest-France, de très loin le plus gros tirage de la presse française.
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Magie de l’accueil pour chacun des invités et des jurés. Ils sont les premiers à découvrir le portfolio spécialement réalisé par Cristel Éditeur d’Art et refermant l’estampe signée par l’artiste argentin Antonio Seguí pour le 13e Prix Jacques-Goddet.
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La traditionnelle photographie millésimée du Prix Jacques-Goddet. Avec, pour la première fois en treize ans, une absente, Rosine Goddet, empêchée par la maladie — « Mais je penserai à vous, et vous penserez tous à moi », a-t-elle tenu à nous dire au matin même de la réunion du jury.
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Ouverture de séance. Au nom du Tour de France et de Carrefour, partenaire du Prix, Christophe Penot salue la présence d’Arnaud Platel et de Fabrice Rigobert, les deux invités ès qualités qui ont pris place autour de la table, en compagnie de Jean-Luc Évin et de Thierry Rey.
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Blanchis sous le harnais, Henri Montulet et Laurent Lachaux ont déjà rouvert leur dossier d’articles. Fabrice Rigobert, Thierry Rey, Éric Marchyllie et Philippe Sudres ne tarderont pas à les imiter.
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Un directeur du Tour de France poing levé pour défendre sa cause et son choix ! Henri Montulet s’esclaffe, Jean-Luc Évin consulte, Jean-Marie Leblanc observe : scène de vie à la table du 13e Prix Jacques-Goddet.
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Hérault de cette candidature de Paris aux Jeux olympiques de 2024 que soutiennent également le Tour de France et le groupe Carrefour, Thierry Rey découvre la légendaire bonne humeur du Prix Jacques-Goddet. Éric Marchyllie et Fabrice Rigobert font chorus !
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Jean-Marie Leblanc le sait bien : les meilleurs jurys sont toujours les plus animés ! Jean-Luc Évin et Arnaud Platel en font la découverte avec un plaisir évident.
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Unanimes ou presque. D’argument en argument, et de tour de table en tour de table, on sent que le rapport de force évolue en faveur de Stéphane Thirion.
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Sous les yeux de Muriel Targnion, bourgmestre de Verviers, Christophe Penot, l’organisateur, présente au lauréat, Stéphane Thirion, le portfolio du 13e Prix Jacques-Goddet frappé aux couleurs du Tour de France et de Carrefour. Une autre façon de saluer tous ceux qui concourent, d’année en année, au rayonnement du Prix Jacques-Goddet.
© Cristel Éditeur d’Art / Freddy Hauglustaine
Éric Marchyllie au micro. Responsable sponsoring de Carrefour France, il veut à la fois saluer un ami et un reporter qui restera dans la mémoire du Prix Jacques-Goddet.
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Dans l’histoire du Prix Jacques-Goddet, il est le premier journaliste belge à inscrire son nom au palmarès. Prenant la parole à son tour, Christian Prudhomme est fier de saluer en Stéphane Thirion un authentique chantre de la francophonie.
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Une accolade émue et sincère. Chacun sait, dans la caravane, que Stéphane Thirion, présentement parti pour son vingt-sixième du Tour de France, est l’un des plus authentiques passionnés du grand rendez-vous de l’été.
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Stéphane Thirion découvre son trophée : une estampe tirée chez Clot, Bramsen & Georges, le plus vieil atelier lithographique du monde. Exemplaire sur papier unique, elle a été numérotée I/I et signée par l’Argentin Antonio Seguí, l’un des grands maîtres de la peinture contemporaine.
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Christian Prudhomme réclame l’attention. En ce lundi 3 juillet 2017, il veut dire tout son bonheur de récompenser Stéphane Thirion chez lui, à Verviers, en Belgique, devant ses amis et, bien sûr, devant ses lecteurs !
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Arrêt sur image pour immortaliser la remise de ce 13e Prix Jacques-Goddet à Stéphane Thirion. On peut reconnaître, à gauche sur la photographie, Bernard Thévenet, toujours fidèle au Tour de France et aux remises du Prix Jacques-Goddet.
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Dans son article primé, il a comparé le mont-Ventoux à « un cuberdon posé dans la plaine du Vaucluse ». Sans pitié pour le régime du directeur du Tour de France, mais comme un joli point final, Stéphane Thirion se fait un devoir d’offrir à Christian Prudhomme un paquet de ces fameux cuberdons !
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